« L’Ă©galité » entre l’accompagnant et l’accompagnĂ© est biaisĂ©e par le rĂŽle d’expert qu’attribue la personne au praticien de l’accompagnement, mais pas seulement…
Dans une relation d’accompagnement, le pouvoir peut se manifester de diffĂ©rentes maniĂšres :
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 le pouvoir professionnel (l’expertise confĂ©rĂ©e Ă l’accompagnant),
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 le pouvoir institutionnel (les rĂšgles et les politiques de l’organisation),
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 le pouvoir relationnel (relatif au choix de posture relationnelle adoptĂ© par l’accompagnant mais aussi de choix de mĂ©thodes et outils).
Le processus mĂ©thodologique ACP-PA (Approche CentrĂ©e sur la Personne et son Pouvoir d’Agir), basĂ©e sur une dĂ©marche de co-construction « spĂ©cifique », tente de rĂ©duire l’inĂ©galitĂ© inhĂ©rente Ă la relation d’accompagnement.
Pour quels effets ?
đ» Favoriser l’autonomie de la personne et rĂ©duire les liens de dĂ©pendance,
đ» Soutenir la prĂ©ciositĂ© du savoir expĂ©rientiel et les capacitĂ©s d’expertise de la personne,
đ» Accroitre le Sentiment d’EfficacitĂ© Personnelle de la personne,
đ» DĂ©velopper, voire restaurer le DĂ©veloppement du Pouvoir d’Agir de la personne,
đ» Favoriser une motivation consciente et autonome chez la personne,
đ» RĂ©duire ses rĂ©sistances et ses mĂ©canismes de dĂ©fenses activĂ©s par les jeux de pouvoir,
đ» Instaurer la confiance et l’alliance de travail.